Auteur : Cheroundene
E-mail : fleur_doranger@hotmail.fr
Saison : 7
Genre : Romance, Drame ?
Date d'écriture : octobre 2007
Raiting : NC17
Disclaimer : Et non, Stargate et les personnages ne sont pas à moi...
Note : L'idée m'est venu en entendant la
chanson "Unfaithful" de Rihanna. Attention ! C'est ma première
fic !! Paroles et traduction de la chanson à la fin.
Mon réveil me tira doucement du sommeil. Tandis que je
tendais le bras pour l'arrêter, une main se posa sur ma hanche,
et commença à me carresser avec une douceur infini.
Dieu que c'était bon !
Je me retournais vers l'homme allongé à côté de moi, et me nicha entre ses bras.
- Il va falloir se lever, murmura-t-il
- Je sais, mais laisse moi encore...2 minute.
- Tu va être en retard à la base.
- Oh, et toi non peut être ? Dis-je en souriant.
Jack O'Neill me regarda avec malice et me dit :
- Oui mais moi tout le monde à l'habitude que j'arrive en retard !
Je le regardais un instant, puis le poussais de mes mains et m'asseyais
à califourchon sur lui. Je sentis alors que son corp
n'était pas totalement enclin au fait que je me lève...
Je me penchais doucement vers lui, et lui chuchota :
- Quitte à être en retard, autant que nous en profitions, mon colonel...
A un instant, je me retrouvais donc sous lui, répondant à
ses baisers si délicieux, à ses carresses qui me
faisaient partir si loin, et j'oublais un instant tout.
Notre travail, nos grade, notre retard, Pete...Tout disparu. Je n'avais
d'yeux que pour l'homme qui me faisait gémir de plaisir, pour
l'homme que j'aimais depuis longtemps...
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J'arrivais à la base avant lui dans un état
plutôt second. Je passais dans les quartier de Teal'c, puis dans
le bureau de Daniel afin de leur dire bonjour. Cette semaine
s'annonçait comme tranquille. Pas de mission dangeureuse, et qui
plus est presque pas de mission du tout. Une était prévus
le surlendemain. Semaine tranquille pour moi aussi. Pete étant
en mission pour une plusieurs jours, j'avais ma maison pour moi. Enfin
façon de parler...
Je souriais en me dirigeant vers mon labo. Il avait vraiment bien choisit sa semaine pour se déclarer !
Avec un pincement au coeur, je pensais au retour de Pete. Je ne voulais
pas le faire souffrir. Je l'aimais. D'une façon
différente, mais je tenais beaucoup à lui.
Et je savais qu'il était fou de moi...
Je m'assit devant mon bureau, tout en essayant de penser à autre
chose. Mais le visage ravagé par le chagrin de Pete me revenait
en mémoire. Je ne voulais pas le détruire.
Tout à mes reflexion, je n'avais pas entendu l'homme entrer dans mon labo.
Je levais doucement la tête tout en essayant de me composer un visage détendu.
Mais Teal'c n'était pas dupe.
- Major Carter, souhaiteriez vous vous entrainer avec moi ? O'Neill
n'est pas encore arrivé, et nous devions faire un combat. Mais
si vous êtes disponible...
- Bien sur Teal'c. Je vous suit.
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Je frapais.
Je tapais.
J'esquivais.
Avec toute ma rage, avec tout mon désespoir.
Teal'c semblait comprendre ma colère, mon besoin de taper, et me
paraît mes coups avec plus de rigueur, avec plus de force, afin
de me laisser de défouler.
Je m'arrêtais soudain, essouflé par cet entrainement. Je regardais Teal'c et lui sourit.
- Merci. Merci beaucoup.
- C'était un plaisir major Carter.
- Pour moi aussi ! S'écria une voix derrière moi.
Je me retournais et vis le colonel O'Neill s'avancer vers nous, son casque et ses gants de boxe à la main.
- Daniel m'a dit que vous étiez déjà là.
Puis se tournant vers moi il me dit :
- Carter vous m'impressionner, je n'ai jamais vu Teal'c avoir une telle garde.
- Merci mon colonel.
- Mais bon, vous êtes encore loin de mon niveau bien entendu,
n'est ce pas Teal'c ? Je vais encore une fois vous mettre la
patée pas vrai ?
- En effet O'Neill, maintenant vous arrivez à me faire reculer de 3cm. C'est votre record.
Je pouffais de rire en regardant les deux hommes. Puis je décidais de les laisser s'entraîner.
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La journée se passa tranquillement.
J'eus peur d'affronter le regard du colonel au mess. Mais finalement
tout se passa bien. Nous pouvions donc garder une relation
professionnelle et amicale, en dépit de se qui se passait entre
nous.
L'après midi, je reçus un appel pour le moins déstabilisant.
- Carter.
- Sam ! C'est moi ! Comment va tu ma chérie ?
Je me sentie blêmir d'un coup. Bien sûr, je savais
évidemment qu'il allait m'appeler dans la semaine, qu'il ne
voulait pas que je m'inquiète...
C'est à ce moment là que le colonel choisit d'entrer dans
la pièce. Je le regardais un moment, éspérant sans
doute lui faire deviner qui était au boût du fil.
- Sam chérie ?
- Oui oui, je suis toujours. Ca va très bien et toi ?
- Ca va au mieux ! Ma mission s'est parfaitement déroulé ! Je rentre ce soir ma chérie !
Je regardais à présent avec effroi le colonel. Celui me
fit un petit sourire, et repartit dans le couloir. Je me mordis la
lèvre jusqu'au sang.
- Ca n'a pas l'air de te faire plaisir...
- Si détrompe toi Pete. Je suis heureuse que ta mission soit déjà terminé.
Je sentis rapidement mes yeux s'embuer, et je coupais court à la conversation.
- On se voit ce soir alors.
- Oui, à ce soir Sam. Je t'aime.
- Moi aussi Pete.
« Moi aussi... » pensais-je après avoir raccroché.
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L'apres midi fut calme. J'évitais au maximum le colonel, tout
en sachant déjà que je passerais le voir chez lui avant
de rentrer chez moi.
C'est ainsi qu'une fois la journée terminé, je dis au revoir a Teal'c et Daniel.
- Jack est déjà partit Sam.
- Je sais, je vais passer le voir chez lui avant de rentrer.
- Ah très bien. Heu...Pete n'est pas revenu de mission ?
- Il rentre ce soir.
Daniel ouvrit la bouche et la referma tout aussi vite sous le regard de Teal'c.
Je ris doucement tout en m'éloignant.
- A demain.
- A demain Sam, bonne soirée...
- A demain major Carter.
Je m'éloignais dans les couloir tout en pensant à ce qui
allait se passer. J'étais dans un stress complet. Je pouvais
supporter beaucoup de choses, je pouvais partir en mission sur un
vaisseau goa'uld, je pouvais supporter la torture, je pouvais rester
calme face à de nombreux choix tactique qui s'offrais à
moi...Mais pas là. Pas ce choix. Deux hommes qui ne se
ressembles pas, et pourtant que j'aime. De façon
différente, mais que j'aime quand même.
Je savais que Pete m'apporterais une stabilité que Jack ne
pouvais m'offrir pour l'instant. Mais mon amour pour lui était
plus pur, plus franc, plus passionnel. J'aimais Pete. Assez pour ne pas
le faire souffrir, mais pas assez pour faire ma vie avec lui sans avoir
à le regretter.
Je me retrouvais je ne sais comment devant ma voiture. Je mettais le
contact dans un état second. Je ne pensais plus. Ce mal de
tête ! Je ne faisais attention à rien. J 'étais
juste concentré sur ma destination.
Quand ma voiture s'arrêta enfin, je ne pris pas le temps
d'éssuyer les larmes sur mon visage, et me précipitais
vers la porte d'entrée.
Quand il ouvrit la porte, il ne parraîssait pas étonné de me voir là.
J'ouvris la bouche mais il leva la main, me coupant en me disant :
- Je sais.
Je le regardais sans comprendre.
- Carter, je sais pourquoi vous êtes là. Pete est revenu.
Désormais vous aller faire votre vie avec lui. Je
n'étaits qu'une...paranthèse dans votre vie...
- Je ne vous est jamais considérer comme une parenthèse monsieur...
- Je sais, et j'éspere pour moi ! Ajouta-t-il avec un clin d'oeil amusé.
Je souris, et il redevint sérieux.
- Il n'empêche que notre histoire s'arrête la n'est ce pas ?
- Je ne suis pas venue pour vous dire ça. Dis-je doucement en baissant la tête. Quoique vous puissiez penser...
J'hésitais un instant, puis me jetais à l'eau.
- Je vous aime. Mais je ne veux pas le faire souffrir.
- Je comprend. C'est légitime Carter. Si vous ne pensiez pas un
temps soit peu à lui, j'en aurais conclut que vous
n'étiez pas humaine.
Je souris. En passant sa main sur mon visage pour éssuyer les quelques traces qui subsistaient , il ajouta :
- Va le voir. Parle lui. Je pense que c'est en faisant ça que tu
sauras exactement quelle est la meilleure solution. Pour nous tous.
- Je reviendrais te voir.
- J'éspère bien ! Ne me laisse pas languir devant ma
télé, ma pizza devant moi, et ma bière à la
main !
Je ris alors, et m'écartais doucement. Le retour au tutoiment
m'avais légèrement détendue... Jack redevint plus
sérieux, et me dit :
- Bonne chance Carter, vous prendrez la bonne solution j'en suis sûr.
- Merci monsieur.
Je me dirigeais vers ma voiture en me rendant soudain compte que nous étions resté sur son palier.
Je me tournais vers lui en ouvrant ma portière. Il me sourit, et rentra chez lui.
Quand j'arrivais devant chez moi, je vis la lumière qui tamisais mon salon.
En ouvrant la porte je vis Pete assit sur le canapé. Il se leva d'un bon à mon arrivée.
- Sam ! Te voilà ! Je ne pensais pas que reviendrais après moi !
- Pete, il faut qu'on parle.
- Bien sur je t'écoute, dit-il en me regardant d'un air plutôt inquiet.
Et il y avait de quoi...
Je lui racontais tout. Ce que j'avais fait pendant son absence. Je ne
lui donna aucun nom, je ne lui donna auncun indice qui puisse penser
que c'était le colonel.
Et je regardais son visage tout en parlant. Je le voyais changer de
couleur. Blêmir sous la surprise, rougir sous la
colère...Mais ce fut la tristesse qui prit le dessus lorsque
j'eu fini.
Il me posa une question auquelle je ne m'attendais pas.
- Sam, est ce que tu aime cet homme ?
<
- Je... je ne comprend pas Pete...
- C'EST POURTANT SIMPLE NON ? Hurla-t-il en se levant.
Il se radouçit sous mon regard désespéré, et se rassit.
- Sam, je peux supporter que ce soit disont, une histoire de sexe. Je
comprendrais. Même si... c'est difficile à accepter. Mais
Sam, si tu l'aime, je ne comprendrais pas. Est-ce que je ne te donne
pas assez d'amour ?
- Bien sûr que si Pete. Et je t'aime aussi beaucoup...Murmurais-je.
- Je peux t'offrir ce que tu veux Sam. La vie dont tu rêve. Tout
l'amour possible qu'un homme peut te donner. Mais si toi tu ne veux
pas, je ne peux rien faire.
<
- Pete, murmurais-je, je suis désolé de te faire souffrir.
Il me regarda, un pauvre sourire au lèvre. Il me pardonnais. Ma tromperie, mon amant, il me pardonnais.
Je me levais, et me dirigeais vers la porte d'entrée.
- Je dois sortir... prendre l'air Pete. Ca ne te dérange pas ?
- Bien sûr que non Sam. On se voit plus tard.
Je me retournais en fermant la porte et regarda son visage. Il
n'était pas dupe. Il savait où j'allais. Je n'avais
jamais su mentir.
Ma décision était prise depuis que j'avais vu son visage ravagé en entendant mes paroles.
En arrivant devant la maison du colonel, j'hésitais. Je
sortis de la voiture tout en essayant de garder mon calme. Il
s'était à présent mis à pleuvoir. N'ayant
pas pris le temps de prendre une veste je me retrouvais vite
glacée jusqu'aux os.
Je frappais à sa porte, et attendais tout en
réfléchissant à mes paroles, tout en me
construisant un dialogue dans ma tête qui, je le savais, n'allais
pas se passer comme prévus. Rien n'était
prévisible avec lui. Et j'adorais ça.
Il ouvris la porte et je vis son regard changer. Il s'attarda sur mes
cheveux trempé qui collaient à mon fronts, mes joues, et
ma nuque. Il détailla mon T-shirt, admirant mes courbes qui se
dévoilaient grâce à la pluie. Je voyais ce regard,
ces yeux et un frisson me parcouru, remontant le long de ma colonne
vertébrale.
Je croisa son regard, et n'y vu que du désir.
N'obéissant qu'à mon instinct, je me jetais sur lui,
collais ma bouche à la sienne, sentant sa langue contre la
mienne pendant qu'il refermait la porte d'un coup de pieds.
Il me plaqua alors contre le mur, et commença à
m'embrasser, à me lécher, à me mordre le cou. Je
soulevai mes jambes et les enroulais autour de sa taille.
<
Il se détacha alors de moi, et enleva monT-shirt. Ses mains
soulevèrent délicatement mon soutient gorge, et sa bouche
fondit sur mes seins. Je gémis de plaisir tout en passant mes
mains dans ses cheveux.
Il me décolla alors du mur, et m'allongea sur le canapé.
J'enlevais alors son T-shirt, et passais mes mains sur son torse.Il me
dégraffa habilement mon soutient gorge (Pete avait toujours eu
du mal à l'enlever...Mais est-ce le moment de penser à
lui bon dieu !!), et passa ses mains sur mes seins, les
pétrissant doucement, et déposa ses lèvres sur les
miennes.
J'eus soudain l'impression d'étouffer.
- Enlève moi ça, dis-je en touchant son pantalon.Enlève tout !
Il se releva alors, me déshabilla entièrement, et
entreprit ensuite d'enlever ses derniers vêtements. Je le
regardais, fascinée.
Il s'avança alors jusqu'à moi, entièrement nu. Je
frémis de plaisir. Comment résister à ce corps si
beau, si fort, si doux avec moi ? A ce regard si dévorant,
à ses lèvres entrouverte qui me demandais muettement s'il
pouvais revenir ?
- Viens là Jack.
Il ne se fit pas prier, et s'allongea sur moi. Il me regarda alors dans les yeux et me dit :
- Je t'aime Sam.
Je le regardais un moment et tout en écartant les cuisses, lui dit :
- Moi aussi je t'aime.
Il plongea alors en moi, et je criai sous la surprise. Un frisson
violent me parcouru et Jack enfoui sa tête dans mon cou, et
entrepris de me mordiller les oreilles, tout en gémissant.
Je voulais le voir.
Je roulais alors sur le côté. Il cria sous la surprise. Nous nous retrouvâmes donc par terre.
A califourchon sur lui, je pris ses poignets, et les maintaint au dessus de sa tête.
Je commençais alors un va et vient lent, tout en le regardant
dans les yeux. Son regard était fixé au mien, mais ses
lèvres entrouvertes laissaient échapper des râles
de plaisir. J'accélérais alors le rythme. Il
libéra ses mains et les posa sur mes seins, me poussant vers
l'arrière. Je le sentit encore plus profondément en moi
et criais pendant qu'un frisson violent me fit perdre pieds. Je me
sentais loin, je me perdais dans ses yeux qui partais eux aussi dans
les limbes d'un plaisir inoui.
- Sam...
Ce gémissement fut la dernière chose que j'entendis. Je
ne sentais plus mes jambes. Des frissons entiers me parcouraient, et
les larmes me venaient aux yeux.
Je continuais cependant à regarder ses yeux noirs dans
l'obscurité de la pièce, et m'efondrais soudain sur lui
dans un bruit où nos deux cris se mêlaient...
Il rabattit ses mains sur mon dos, et me carressa doucement pendant que nous récupérions nos sens...
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- C'étais un adieu n'est ce pas ?
Sa voix semblait calme, posé mais en le regardant je lisais la douleur dans ses yeux.
- Jack, je...
- Ne dis rien, je comprend. Je ne peux peut-être pas t'offrir la
vie que tu mérite. Je comprend que tu ne veuille pas le faire
souffrir. Ce que je souhaite te dire c'est que...
Il hésita, et continua devant mon regard embué de larmes.
- Je t'aimerais toujours Sam. Je t'attendrais. Tu as pris ta
décision, je la réspecte. Je ne souhaite pas te faire
changer d'avis, mais je tenais à te le dire.
- Merci. Je... je ne veux pas le faire soufrir, mais toi non plus. Je
dois choisir qui doit soufrir, et qui doit être heureux, et
ça me tu. Je suis désolé Jack. Je ne peux pas lui
faire sa...
- Je comprend, murmura-t-il en passant sa main dans mes cheveux. Tu devrais y aller.
Je le regardais et l'embrassais. Je ne pensais pas que c'était
un adieu... Juste une sorte de « à plus tard.. »
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Toutes les lumière étaient éteintes quand j'arrivais chez moi.
Apres avoir fermé la porte je me dirigeais vers ma chambre. Pete
était là. Dans le noir. Il ne dormait pas je le savais.
Je me déshabillais, avant d'enfiler un short et un
débardeur. Je m'allongeais sur le lit, et tendis la mains vers
lui.
- Je suis désolé, dis-je. Ca ne se reproduira plus je te le promet.
Il se retourna alors vers moi, et ouvrit ses bras. Je me nichais dans ses bras, et il me serra fort.
J'entendis distinctement un petit « merci Sam.. », et il se détendit.
Longtemps après qu'il se soit endormi, je
réfléchissais toujours. Je pensais avoir pris la bonne
décision.
Je n'avais pas le droit de faire ça à Pete. Je repensais
alors à ce vieux film, « Casablanca».
L'héroïne avait également choisis de rester avec son
mari plutôt que de suivre son coeur.
« La raison domine la passion » pensais-je
amèrement. Et puis je repensais aux paroles de Jack. « Je
t'aimerais toujours Sam. Je t'attendrais» . Je sourais alors
à ses paroles.
Un jour peut-être...Un jour...
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voilà ! C'est fini ! J'espère que vous n'êtes
pas trop frustré...Moi un peu, mais la scène d'amour
entre Jack et Sam m'a...Défrustré !!
Mais bon, je sais que c'est ma première fics, ce n'était
donc pas parfait, j'espere ne pas avoir trop fait de fautes...
J'attend vos commentaires...
Paroles et traduction de « unfaithful » de Rihanna.
Unfaithful
Story of my life
Searching for the right
But it keeps avoiding me
Sorrow in my soul
Cause it seems that wrong
Really loves my company
He's more than a man
And this is more than love
The reason that the sky is blue
The clouds are rolling in
Because I'm gone again
And to him I just can't be true
(pont)
And I know that he knows
I'm unfaithful
And it kills him inside
To know that
I am happy with some other guy
I can see him dying
(refrain)
I don't wanna do this anymore
I don't wanna be the reason why
Everytime I walk out the door
I see him die a little more inside
I don't wanna hurt him anymore
I don't wanna take away his life
I don't wanna be...
A murderer
I feel it in the air
As I'm doing my hair
Preparing for another date
A kiss upon my cheek
As he reluctantly
Asks if I'm gonna be out late
I say I won't be long
Just hanging with the girls
A lie I didn't have to tell
Because we both know
Where I'm about to go
And we know it very well
(pont)
(refrain)
Our love, his trust
I might as well take a gun and put it to his head
Get it over with
I don't wanna do this
Anymore
Infidèle
L'histoire de ma vie
En quête du droit chemin
<
Mais celui-ci m'évite toujours
Du chagrin dans mon âme
Car c'est vraiment mal ce que je fais
Il aime vraiment ma compagnie
<
Il est plus qu'un homme
Et c'est plus que de l'amour
La raison pour laquelle le ciel est bleu
Et que les nuages se couvrent
Est parce que je suis encore partie
Et je ne peux pas être honnête avec lui
(pont)
Et je sais qu'il sait que je suis infidèle
Et ça le détruit de l'intérieur
De savoir que je suis heureuse avec un autre gars
Je le vois mourir
(refrain)
Je ne veux plus jamais faire ça
Je ne veux pas être la raison pour laquelle
A chaque fois que je m'en vais
Je le vois mourir un peu plus à l'intérieur
Je ne veux plus lui faire de mal
Je ne veux pas lui enlever la vie
Je ne veux pas être
Une meurtrière
Je le sens tout autour
Pendant que je me coiffe
En me préparant pour un autre rendez-vous
Un baiser sur ma joue
A contrecoeur
Me demande si je rentrerai tard
Je lui dit que non
Je serais avec mes amies
Un mensonge que je n'avais pas besoin de dire
Car on sait tout les deux
Ou je m'en vais vraiment
Et nous le savont très bien
(pont)
(refrain)
Notre amour...Sa confiance
Je pourrais aussi bien prendre un fusil
Et le pointer sur sa tempe
En finir pour de bon
Je ne veux plus jamais...faire ça...